Maryam Radjavi, politicienne iranienne, a présidé le conseil national de la résistance de l’Iran depuis plusieurs années. Cet acteur politique est également un vrai pilier et protecteur des droits de l’Homme. Elle se trouve dans l’opposition du régime républicain de l’Iran. Nombreux politiciens des pays américains et européens ont demandé une entrevue d’échanges d’idées avec Maryam Radjavi. Découvrez les actions menées par Maryam Radjavi en Iran.

 Une présidente se souciant du droit des femmes

Le CNRI ou le Conseil National de la Résistance de l’Iran a élu Maryam Radjavi comme le président du Conseil. À noter que l’assemblée comprend de nombreux partisans de l’opposition. Elle a donné l’opportunité aux femmes iraniennes de se développer. Effectivement, la gent féminine de l’Iran arrive à tenir des postes importants auprès de la résistance. D’autre part, plus de la moitié des membres sont des femmes. Ces dernières se trouvent dans des branches différentes telles que sociales, politique et culturelle, sociale, politique. Dans plusieurs discours, Maryam Radjavi envoie des messages clairs en opposition avec l’action des mollahs. Cette politicienne ne cessait de mettre l’accent sur la tolérance et la démocratie. Elle soulignait particulièrement le droit des femmes et l’islam. Au cours de son discours, en 1994, Maryam Radjavi a braqué sur l’oppression religieuse qui étouffe sur les femmes iraniennes. Cet acteur politique a également évoqué l’intégrisme islamiste qui affectait de nombreuses femmes Iraniennes, notamment celles résidant à Téhéran, la capitale. D’après son idéologie, les femmes iraniennes sont mises à pied d’égalité par rapport aux hommes et être respectées. Elles seraient source de croissance et de paix au niveau du pays. Pour beaucoup plus d’informations sur les actions menées par Maryam Radjavi, cliquez ici.

Les actions déjà entreprises

Le combat de Maryam Radjavi par rapport à la liberté des femmes lui a permis de participer à de nombreux événements. Elle se présente, en octobre 2019, à une conférence de presse au niveau du Parlement européen. Cette politicienne y a exposé de l’abomination de violence et habitude du régime mollah en Iran. Maryam Radjavi dénonce particulièrement le massacre de 1988 des prisonniers politiques où plusieurs jeunes martyrs ont péri. La politicienne a aussi participé à une exposition à Paris sur le thème « un crime contre l’humanité iranien ». Elle y a soutenu son engagement à renverser la dictature et a démontré un puissant appel à la justice. D’autre part, en novembre 2019, Maryam Radjavi approuve que le renversement des mollahs conduise vers un Iran plus viable et stable. Dans un discours qu’elle a effectué à La Réunion, elle appelle, pour la demande de liberté, les personnalités politiques européennes à s’allier avec elle. Maryam Radjavi, plus récemment, s’est rendue à l’événement de commémoration de victimes martyres du crash d’avion ukrainien. La politicienne y confirme que les Iraniens ne désirent plus collaborer avec ce régime dictatorial, l’heure de son renversement est venue. De 1985 à 1989, Maryam Radjavi devient codirigeante de l’OMPI. La politicienne devient, de 1989 à 1993, secrétaire générale de l’OMPI. Depuis 1993, elle devient présidente du CNRI. Suivant l’idéologie qu’elle mène et ses parcours, on peut dire que Maryam Radjavi a parcouru de plusieurs échelons. Cette politicienne n’a cessé de défendre et protéger les droits de l’homme, particulièrement ceux des femmes et aux victimes d’actes malsains, rendre justice.

Une campagne internationale menée par Maryam Radjavi

Lors d’une action internationale qu’elle a menée, Maryam Radjavi a abordé l’implication du droit de l’Homme, en faveur de la résistance iranienne. À cette occasion, elle annonce des déclarations qui proviennent de nombreux pays et des associations membres des Nations Unies. Ainsi, en 2016, l’adoption d’une résolution est effective lors d’un congrès. C’est pour sécuriser les résidents du camp Liberty. Les horribles plans des mollahs qui visent à détruire l’OMPI ou l’Organisation des Moudjahiddines du Peuple de l’Iran en Irak, au camp Liberty, ont été maîtrisés. Maryam Radjavi, la même année, annonce la création du mouvement pour la justice en aide aux victimes du massacre de 1988. Ces crimes ont été condamnés au niveau international et par l’Iran. L’abolition de la peine de mort figurait parmi le châtiment extrême de cette action.